Roger Wallet, écrivain membre d'Au Fil des Mots, et un petit groupe de passionnés de l'ECRITURE
(dont Nadine Fouchet, également membre et présidente d'Au Fil des Mots) participent à une
revue mensuelle d'écriture :
Le Calepin bleu.
Nous vous invitons à les consulter sur le site http://lecalepin.fr/
En voici la "philosophie" que l'association Au Fil des Mots partage complètement.
Les Calepins
Nous ne faisons pas profession de l'écriture, ni de la critique littéraire.
Sinon profession de foi : nous croyons en la puissance de l'écriture pour aider à vivre,
pour mieux comprendre la vie. Notre ambition : exprimer le plaisir profond, intime,
que nous ressentons à lire et à écrire. Comme tous les plaisirs, il culmine dans le partage.
Le trimestriel "Saisons"
le premier numéro qui vient de paraître remplace maintenant le petit mensuel le Calepin Rouge
Trois rendez-vous :
le Calepin Bleu est une revue mensuelle d'écriture
le Calepin vert, cabinet de curiosités
les Saisons sont un moment trimestriel vécu en compagnie d'un auteur.
N'hésitez pas à retrouver toutes ces revues sur le site qui leur est dédié : http://lecalepin.fr/
Et ponctuellement : Une épopée qui se décline en 3 Livrets intitulés : LA VOYAGEUSE
LA VOYAGEUSE : Livret 1 LA VOYAGEUSE : Livret 2 LA VOYAGEUSE : Livret 3
Saisons
SAISONS
Ce trimestriel prend le relais du mensuel « Calepin Rouge » et, avant lui, des bimensuels « Feuillets du 15 ». Que le titre soit passé de trois mots à deux puis à un pourrait être fortuit. Il n’en est rien. Avec l’âge – d’aucuns diraient l’expérience – les mots révèlent les vertus du simple.
En résumé, SAISONS pourrait passer pour un fourre-tout, avec des rubriques consacrées à la littérature, aux parutions, à côté d’autres plus attachées à la philosophie, l’Histoire, à la botanique ou aux sciences. Nous le revendiquons : tout nous intéresse, enfin… tout ce qui donne prétexte à partager une écriture. La revue est généraliste.
Aussi vous invitons-nous à deux choses. Une : diffusez largement à vos amis, il n’y a pas de droits d’auteurs. Deux : prenez « la plume » et contribuez au prochain numéro de SAISONS (le 21 décembre, donc) en nous parlant de ce qui vous passionne ou vous préoccupe. Votre envoi sera lu par la Rédaction qui vous recontactera pour échanger sur votre envoi et le publier, l’amender ou – un tel cas s’est produit une fois depuis 2012, année où nous avons inauguré nos productions informatiques - le refuser. Dans tous les cas, nous nous expliquerons.
Dessins et photos sont aussi les bienvenus.
SAISONS n°6
Pierre Rosset nous dit son amour de la baguette et du pain.
Roger Wallet égratigne le dernier Goncourt et son style narratif plus fait pour un one man'show télé.
Bienvenue à une jeune lycéenne, Meissa Khelladi, qui analyse la dernière création scénique du nouveau directeur d'Avignon.
Le Professeur Hernandez, sans doute pris par les remords, fouille du côté des vices et des vertus. Déroutant mais finalement pas inactuel.
Papy Rock, selon son habitude, déambule furieusement dans les rues de Louviers.
Michel Le Drogo analyse le premier roman de Thomas Rosier. Il fait mine de se consacrer à Brueghel l'Ancien pour mieux nous parler de notre XXIe s. et de ce qui s'annonce.

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Prochain numéro en Mars 2023
SAISONS n°5
No futur(e)". Ne vous fiez pas à la dernière image de ce numéro : il y a bien un futur, nous assure le Professeur Hernandez. Comment, dans cette période, échapper à la perte de sens ? La question est éternelle et les thèses complotistes ne sont qu'un avatar de cette quête.
Plus léger, le dialogue entre Dédé Cagneux et son "conseiller image". Même si, en fin de compte, Michel Lalet, en vieux routier de la vie sociale, nous donne à sourire du triste spectacle de notre monde politique. Votons pour le futur ministre des Sports et qu'il aille, la prochaine saison, au Qatar !
Michel Deshayes a bien raison de se balader comme il le fait de bouquin en B.R. et de film en voyage. Tout lui parle de lui, d'un moment de sa vie. Lui aussi s'interroge : il a bien du mal à renoncer à ses... illusions ? Non, à ses certitudes !
Marcelle Devisch est une artiste plasticienne peu conventionnelle. Ses œuvres sont si diverses qu'elles défient les classifications. Disons "textile" pour ce dont elle nous parle ici : une série de petits "tissages" (17cm de diamètre) déclenchés par la lecture d'un article sur... les neurones !
Quant au chef Pierre Rosset, c'est à un fruit de saison qu'il consacre sa chronique : la tomate. Elle se prête à bien des folies collectives, comme en Espagne (la fête de Bunol) ou en Picardie, à l'instigation d'un certain professeur... Rosset ! Pas étonnant que Perec s'y soit intéressé...
Et lectures de Cabu, Lemaitre, Michèle Desbordes et bien d'autres.
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SAISONS n°4
Voici le « SAISONS » de l'été 2022.
Il en a certaines tonalités, notamment à travers les rubriques gastronomiques de Pierre Rosset dédiées au navet et à l'oignon !
Qui a dit "Pouacre !" ? Qu'il lise la rubrique et nous en reparlerons...
Et puis Michel Deshayes va vous donner l'envie d'aller vivre à Louviers - surtout si vous faites partie des "aînés" - ou en tout cas de vous inscrire à sa médiathèque. Il nous livre un peu de son parcours récent dans les bouquins et ce n'est pas triste...
Des notes de lecture qui ne sont empreintes de nulle complaisance - ce qui nous consolera des Busnel et autres confrères surtout préoccupés de leur audience et donc de leur pouvoir d'achat...
Et la réflexion du Professeur Hernandez qui résonne singulièrement en ces temps post-électoraux.
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SAISONS n°3
Ce devait être le n° du printemps mais Poutine... Le nom ne se prononce plus qu'avec dégoût et ses deux syllabes résonnent comme Putain ou Pétain.
Les mots russes justement, Lehallier propose de boycotter désormais le plus utilisé d'entre eux... (17)
SAISONS étant une revue de chroniqueurs, ce n°3 vous les propose au mieux de leur forme.
Pierre Rosset fait le grand écart entre la sardine (9) et le coupe-jarret (18).
Michel Deshayes se balade dans les romans graphiques et publications diverses : du photographe de guerre Abbas à l'Indienne Phoolan Devi et à l'Allemand Hoffner ; bref, des gens libres.
Léo Demozay nous fredonne deux chansons oubliées : Gribouille (16) et ce merveilleux iconoclaste de René-Louis Lafforgue (6).
Chanson justement avec Michel Lalet (31) pour qui la nostalgie n'est plus ce qu'elle était, Schkommpff !
Jean-Marie Wallet nous emmène en forêt à la découverte des baobabs, des sorbiers et des ifs (7).
Sylvie Van Praët (32) nous confie des aveux de gourmandise qui remontent à l'enfance.
Quant au Professeur Hernandez (33), il clôt ce n° sur une belle citation de Saint-Ex, "L'avenir, il ne s'agit pas de le prédire, mais de le rendre possible", ce qui nous ramène au P... du début.
J'oubliais : un long portrait de la Picardie profonde par Rémi Lehallier (21 et, forcément, elle s'ancre dans l'espérance d'un printemps).
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SAISONS n°2
- Hiver 2021
De nouvelles signatures au sommaire. A commencer par celle de Pierre ROSSET qui s'intéresse au contenu des assiettes de la cantine ; une démarche qui surprend moins aujourd'hui que l'écologie a progressé ; il le fait avec... gourmandise !
Laurence SAGOT fait une brève incursion du côté des mythes fondateurs cependant que Denis GIRETTE égrène quelques brèves qui auraient pu trouver place dans Le Canard...
Côté littérature, une fois n'est pas coutume SAISONS tourne des pages de l'année, avec Michel LE DROGO à l'éclectisme rieur (polar, peinture, etc.) cependant que Rémi LEHALLIER a lu le dernier Goncourt... enfin... essayé de lire...
Saluons le retour de la chanson avec la chronique de cet amoureux forcené de Michel LALET et les divagations iconoclastes de Léo DEMOZAY sur les centenaires de Tonton Georges et de Montand.
Sylvie VAN PRAËT souffre de vertige. Plutôt que de taire sa phobie elle a choisi de s'en expliquer. Bien lui en a pris car on marche prudemment dans ses phrases.
Michel DESHAYES nous livrait chaque mois, dans Le Calepin Rouge, sa chronique B.D. Le voici qui s'aventure librement dans les rues lovériennes en piochant au hasard aux devantures des librairies...
Je n'aurais garde d'oublier le fidèle Professeur HERNANDEZ dont la sagesse érudite fait beaucoup pour le niveau culturel de notre revue.
Et puis, nous rendons hommage à Alain ARNAUD, un ami peintre d'un petit village du Beauvaisis. Nous étions quelques-uns à l'accompagner à sa dernière demeure en août. Puissent les modestes pages de notre petite revue lui faire chaud au cœur...

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SAISONS n°1
- Automne 2021
Le voici, à l’heure dite car l’exactitude est une exquise politesse.
Bonne lecture.
La Rédaction

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Calepins Lilas
LE CALEPIN LILAS n°4 - "Si safran m'était chanté"
Sylvie Van Praët et Roger Wallet se sont ingéniés à écrire des chansons qui parlent du safran. Et ce, pour la chorale Chœur de Safran, de Pithiviers. Ils se sont glissés dans les pas des chanteurs du Gâtinais, Aristide Bruant et Gaston Couté, mais aussi Michel Legrand et Mouloudji, avant de glisser vers des mélodies safranées de leur goût... Vous connaissez toutes ces chansons, je veux dire tous ces airs...

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Calepins rouges
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Juillet 2021
Le Calepin Rouge n°43
Terminons notre série Retro en évoquant un collaborateur précieux des Calepins : Michel Lalet. Cet inventeur prolixe de jeux de société (on lui doit notamment Abalone) traque les mots et surtout les néologismes - n'est-il pas un "boomer" ? Mais, ces derniers temps, l'âge aidant, il se ferait un peu... moraliste - rassurez-vous, façon Frédéric Dard !
. Falloujah aura décidément tout connu du pire de nos sociétés. Avant Al Qaida, elle aura subi le nec plus ultra de la grande civilisation américaine défenseuse des libertés [sic !] : pire qu'à Hiroshima !
. isabel Asunsolo nous livre un second roman très poétique dans lequel le haïku s'égrène le long des côtes picardes...

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Juin 2021
Le Calepin Rouge n° 42
Chroniques poésie de Mario Lucas & Roman graphique du mois
Retour sur les chroniques poésie qu'a longtemps tenues Mario Lucas. A travers la poésie contemporaine, celle qui commence à Rimbaud - mais il ne dédaigne pas l'amour courtois - quelques grands noms dans ce florilège (Prévert, Whitman, Denis Roche) et la figure "locale" (entendez "picarde") de Léon Leclère, enfin...
Michel Deshayes se glisse en fin de Calepin. Tant pis si ce n'est pas de la poésie, il n'a pas voulu en démordre : il "reste ici".

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Mai 2021
Le Calepin Rouge n° 41
Les chroniques Romans graphiques de Michel Deshayes
Michel Deshayes est un gros lecteur, mais de B.D. Il a des goûts sélectifs et quelques lignes de force se dégagent de la quinzaine de chroniques ici regroupées. Celles d'une conscience politique vive et affirmée (sa dernière chronique porte sur Angela Davis...). Celle, plus discrète ici, de goûts musicaux qui... déménagent serait un peu excessif, sauf pour les plus âgés d'entre nous ; disons qu'il est rock et plus Rolling Stones que Beatles (même si ici il nous livre "Lennon"). Le dernier thème qui parcourt ses chroniques est tout simplement ce sentiment que nous connaissons bien, surtout en ces temps d'isolement : le temps qui passe, eh oui ! Même si l'âge ne fait pas tout...

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Avril 2021
LE CALEPIN ROUGE n°40
Les chroniques du Professeur Hernandez
Danièle Perrault d'abord, dans une note de lecture sur deux livres qui, curieusement, parlent de la même artiste...
Et puis le Professeur dans 14 de ses Chroniques. Toutes parlent de littérature bien sûr, mais toutes parlent de notre monde d'aujourd'hui, de son passé douloureux et, parfois, de certaines voies d'une certaine sagesse.

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Mars 2021
LE CALEPIN ROUGE n°39
- Une vilaine habitude que nous avons prise : saluer les disparus du mois. Ce mois-ci Hélène Martin chante à jamais "Sur mon cou sans armure et sans haine mon cou..." tandis que Raymond Lévesque, du haut des Plaines d'Abraham, entonne avec Leclerc, Vigneault et Charlebois, l'hymne à la fraternité "Quand les hommes vivront d'amour..." qui vaut mille fois mieux que notre Marseillaise aux sinistres paroles.
- Côté lectures, quelques regrets du côté de Jean-Claude Carrière - décédé ce 8 février - et beaucoup d'agacement avec Actes-Sud. Et puis le dossier Raymond Carver, l'immense nouvelliste américain (décédé voici 38 ans) dont l'éditeur a... réécrit ? aménagé ? le style...
- Michel Deshayes a décidément sympathisé avec ses "Vieux fourneaux".
- Quant au Professeur Hernandez, il lorgne du côté des "femmes savantes".

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Février 2021
LE CALEPIN ROUGE N° 38.
. "Tempête sur Cuba" raconte le basculement entre le régime corrompu de Batista et la révolution castriste. Camilo Cienfuego est au cœur des 130 pages de ce roman graphique qui restitue à merveille la jeunesse... de nos illusions !
. Le Professeur Hernandez est lui aussi touché par l'extrême lassitude de cette période, qui incite à la culture de l'instant présent, au retrait sur soi, au retour vers le passé. C'est précisément le temps de l'écriture, i.e. de reconstruire ce qui fut beau.
. Les 11 notes de lecture ont suscité des sentiments divers chez nos six lecteurs. Aude France a particulièrement goûté la belle impertinence de la cuisinière Laëtitia Visse ("Les couilles"). Rémi Lehallier et Roger Wallet ont relu avec bonheur ces magnifiques trousseurs de nostalgie que furent Pierre Autin-Grenier ("Friterie-bar Brunetti") et Jean-Claude Pirotte ("La pluie à Rethel"). On égratigne le dernier Quignard "qui vire mystique" et l'on déboulonne la statue de Brautigan et celle - restée à vrai dire à l'état d'ébauche - de Frédéric Berthet.
. Deux de nos collaborateurs sont à l'honneur : Nadine Fouchet pour son dernier recueil de nouvelles ("Le dernier bois") et Michel Lalet - l'homme du récent "Voyage de Baltruche" - pour un petit compendium sur les réalités de l'âge ("Mauvaises mémoires").

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Janvier 2021
LE CALEPIN ROUGE N° 37.
. En ces temps incertains, autant penser au prochain été. Passer un été sur les routes ! Neuf écrivains - un Anglais, un Italien, quatre Français, deux Américains et un Suisse - pour nous donner l'envie du voyage. Comme l'écrit Nicolas Bouvier, ce n'est pas nous qui faisons la route, c'est la route qui nous fait.
. Roman graphique - Quand elle est née, son père était déjà boxeur. Elle était au bord du ring quand il a connu sa troisième défaite au championnat de France. Et là, elle l'accompagne encore : il est dans son cercueil...
. Le Pr Hernandez - On a tous lu "Don Quichotte de la Mancha", l'homme qui réglait sa vie sur ses rêves, un fou, quoi. Mais peu d'entre nous ont lu Machiavel dont "Le Prince" est toujours présenté comme le livre de chevet de ceux qui gouvernent et ne rêvent finalement que de commander à nos vies et à nos rêves, des fous, quoi...

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Novembre 2020
Profiter du confinement-2 pour découvrir (ou redécouvrir) l'écrivain et scénariste français Hubert Mingarelli
Né en Lorraine, à Mont-Saint-Martin le 14/01/1956 et décédé à : Grenoble le 26/01/2020
Il arrête l'école à 17 ans pour s'engager dans la marine. Il va donc voyager, surtout en Méditérranée.et dans le Pacifique. A son retour, il entreprend un périple à travers l'Europe, qui le conduit à Grenoble où il s'installe. Il commence à publier en 1990. Il est lauréat du Prix Médicis en 2003 pour son roman "Quatre Soldats".
Les femmes sont relativement absentes de ses romans et nouvelles. Il s'intéresse plus volontiers au rapport père-fils que ce soit dans "Une rivière verte et silencieuse" (1999), "La Dernière Neige" (2000) ou encore dans "La Beauté des loutres" (2002). Dans "Quatre Soldats" (2003), il évoque l'amitié de ces quatre hommes dont un est à peine sorti de l'adolescence. Les trois nouvelles de son recueil "Océan Pacifique" (2006) racontent la vie de matelot qu'il a lui même vécue. Cet ouvrage lui vaut le Prix Livre & Mer Henri-Queffélec au Festival Livre & Mer - Concarneau 2007.Il vit aujourd'hui dans un hameau de montagne de Matheysine dans les Alpes françaises.

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Octobre 2020
Trois auteurs en Picardie. Cécile Odartchenko cède à son penchant pour le bavardage en un Journal de bien piètre intérêt. Mais elle se rattrape avec un récit enflammé, virevoltant, touchant sur son enfance. Jean-Louis Rambour a longuement photographié les trottoirs de Paris, Amiens et ailleurs ; il y a traqué ce qui arrache le cœur et qui a nom, pourtant, d'humanité... Philippe Crognier a pris sa guitare et, avec son pianiste Léo, il nous embarque dans une tournée des cabarets parisiens. Très vite on croise Prévert mais l'homme à l'éternelle cigarette se prend un coup de couteau...
Deux romans graphiques hors genre. Rabaté d'abord, nous donne une curieuse leçon de vie à travers l'histoire d'un type très neurasthénique qui tient une boutique de... farces et attrapes ! Mais Clarisse... Joe Sacco nous emmène, lui, en Bosnie à la fin de la guerre. Noir et blanc. Deux reportages en BD : on peut préférer "âpres" à "déchirants"...
Quant au Professeur Hernandez, il met le flash sur un genre littéraire fin XIXe début XXe, à l'époque où la France exerçait sa grande mission civilisatrice dans les "Colonies". Sans la Martinique, la Guadeloupe, la Réunion, la Nouvelle-Calédonie... ce serait du passé.

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Septembre 2020
Essentiellement une balade vagabonde au gré des lectures de l'été. Des confirmations :
Perec, Duras, Bergounioux, Charyn, Rambour. Des déceptions : le grand Steinbeck qui apparaît bien vieilli ; cette jeune plume tant célébrée de Cécile Coulon qui se fourvoie dans un texte sans imagination. Confirmation aussi que celle de Druillet, avec une pointe de nostalgie liée aux années 68... Et, sans cesse inspirant, sans cesse structurant les écrits, le mythe millénaire ou plus récent...

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Calepins bleus
Janvier 2023
LE CALEPIN BLEU n°59
Surprise !"
- Apprendre au téléphone le décès de son petit frère trois mois plus tôt sans même avoir reçu le moindre faire-part, cela en dit long sur les occasions manquées de réconciliation. (David Bowgosse)
- Vivre sous les coups de colère du tyran paternel jusqu'à vouloir en abdiquer sa propre vie, et n'en être délivrée que par sa mort à lui. Puis filer sa vie, enfin, jusqu'au bout soulagée. (Dominique Langlet)
- Etablir la liste des ingrédients : mauvaises et bonnes surprises. Ne pas trop s'étaler sur les premières ; savourer les secondes, prendre le temps de s'en délecter... La recette d'une belle vie. (Pierre Rosset)
- Franchir le pas : quitter Strasbourg, son violon sous le bras, et venir dans la capitale. Aller découvrir le Louvre pour retomber, devant "Le Déluge", sur les tempêtes familiales et, miracle, le regard de Pierre... (Jacqueline Paut)
- Trancher, tailler, désosser, faire mousser les huiles à feu bien vif, saler, poivrer, tailler en rondelles... C'est cela, la cuisine : partir à la guerre ! (Raphaël Cabale)
- Dévorer les livres, se lancer à corps perdu dans la lecture et venir en parler à la MJC. S'émouvoir avec Bobin, retomber en enfance avec Le Petit Prince, voyager en Moselle avec Claudel, dans la Creuse avec Michon, au Japon avec Baricco... Rentrer chez soi avec la furieuse envie d'écrire. (Rémi Lehallier)
- Se marier à Las Vegas, épouser un patrimoine et tant pis pour la date de péremption. Face au banquier, perdre ses moyens. Trouver à s'échapper, se réfugier dans un bar, voir soudain le banquier s'approcher, ne pas refuser un verre. Ne rien lui refuser ? (Octavie)
- Sortir de chez soi pour aller acheter son pain, badauder à la vitrine d'une joaillerie, se laisser convaincre d'entrer, n'avoir pas oublié l'anniversaire de sa nièce et voir soudain sa vie piégée dans un dodécaèdre adamantin. (Sylvie Van Praët)
- Se souvenir de ces contes dont les adultes sont friands vis-à-vis des enfants au moment de Noël, attendre vingt ans pour que l'un d'eux se réalise dans le quotidien modeste de la basse-cour : entendre parler le coq et même converser avec lui. S'en laisser conter. (Françoise Danel)
- S'émerveiller tous les jours devant les pochettes-surprises roses de la boulangerie, se désespérer de ne pas avoir reçu la pochette tant souhaitée mais, finalement, recevoir bien mieux : de quoi sourire jusqu'à l'adolescence et sans doute au-delà. (Régine Paquet)
- Recueillir avec une tendre fidélité toutes ces choses désormais inutiles qui disent simplement : "Ici l'on a vécu, beaucoup aimé". (Hervé Gouzerh)
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Novembre 2022
LE CALEPIN BLEU n°57
"Frère(s) et sœur(s)"
. Ses frères et sœurs le boudent, l'ostracisent. Le chat, pourtant, a épargné le bébé poule d'eau. Ne lui reste qu'à faire sa vie ailleurs... (isabel Asunsolo)
. Le casse du siècle Place Vendôme, 4 bijoutiers dévalisés. La police est sur les dents. Les coupables ne seront pas démasqués : une famille algérienne d'amateurs dont le père avait naguère été injustement condamné. Rassurez-vous : l'argent a été bien utilisé... (Keltouma Mokhtari)
. Mais Serge, je n'ai rien compris à notre brouille, ni à ses récents appels qui étaient en fait désespérés. Personne ne m'a fait part de son décès. (David Bowgosse)
. Le grand frère admiré, sûr de lui. Il quitta la maison. Je le sus professeur de français au Danemark, il lisait Rimbaud à ses élèves. (Jacqueline Paut)
. Son jumeau, si différent de lui. Lui, casanier, raisonnable tandis que Paul menait sa carrière sportive. Ce soir ils fêtent ensemble leurs 70 ans. Comme d'habitude, Paul ne viendra pas... (Pierre Rosset)
. Si différents, sa mère et "Tonton Paul". Lui, observe sans bien comprendre. Jusqu'à ce qu'Oncle Paul quitte la maison. Lui travaille sur un arbre généalogique. Comment doit-il écrire : "Oncle Paul" vraiment ? (Sylvie Van Praët)
. Cinq cartes du monde. Par pans entiers sur des valises, sur des visages ou sur des silhouettes. Ne sommes-nous pas tous frères ? (Régine Paquet)
. On a beau le tenir dans ses bras, est-il un enfant ou simplement une peluche ? "Qui réparera l'âme des enfants tristes ?" (Hervé Gouzerh)
. Hommage au grand frère "d'amour, de cœur, d'armes et de sang". (Keltouma Mokhtari)
. Des dix enfants, un n'a jamais vécu et cinq ont disparu... (Léo Demozay)
. "Je n'ai ni frère ni sœur". Elle s'invente une famille d'écriture et se réfugie dans l'ombre fraternelle d'Honoré. (Yssé Cotine)

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Octobre 2022
LE CALEPIN BLEU n°55
Premiers froids
Domi nous livre une histoire qui résonne singulièrement en ces temps où se multiplient les féminicides. Pour une fois qu'il s'agit d'un homicide, on ne va pas s'en priver. Pas, Germaine ?
Roger Wallet se la joue à la François Villon et nous livre ce que lui inspirent les premiers froids : Il y a beaucoup d'autres choses mais il n'y a rien au-delà.
Le thanatopracteur est trop peu mis en valeur dans l'écriture contemporaine. Françoise Danel nous présente Tiago qui évoque avec émotion ses "premiers froids".
Pierre Rosset se souvient avec tendresse de ses émotions d'enfance quand venait la saison froide. Elle était joyeuse, vivement qu'elle revienne... La saison froide ? L'enfance ?
Jacqueline Paut regarde par la fenêtre les nuages bas, la ouate d'hiver, l'agonie champêtre, la mélancolie citadine... Seuls les enfants sont joyeux.
Insaisissable Yssé Cotine ! On quitte ses textes sans être vraiment sûr de ce qu'ils racontent tant ils fourmillent, s'emballent, fuient... Alors on y revient et on découvre autre chose...
Hervé Gouzerh contemple la vie, il prend photo sur photo et, en définitive, celle qu'il retient, c'est celle que demain il fera.
Régine Paquet n'en peut mais de ce rhume qui brouille les mots sur la page, qu'elle finit par froisser. Elle s'y remettra plus tard...
Léo Demozay traque les lieux où il vécut avec elle, c'est-à-dire où il vécut. Il retrouve son chemin mais quand il pousse la porte...
Toulouse en hiver, ça ne vaut tout de même pas Madrid sous la neige pour isabel Asunsolo. Mais rien ne vaut le Mont Valier avec toi.

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Septembre 2022
LE CALEPIN BLEU n°56
CHIEN & CHAT...
En février 2021, la famille Durola adopte Rox, un petit chat roux, et Rookie, une chienne Berger américain miniature. Ils ont tous les deux deux mois...
Pierre Rosset s'est lancé à la poursuite de Milou quand il course des chats ; celui du château de Moulinsart a sa préférence...
C'est la nuit que ces choses-là s'invitent dans le paysage familier. Qu'espérer d'autre sinon que, comme le chat, elle finisse par revenir ? (Sylvie Van Praët)
Un intrus dans la maison. Ces deux-là ont tout pour se faire la guerre. Et pourtant, même si cela ne se dit pas, c'est la paix qu'ils vont se faire. (Octavie)
Il faut être bien vieux pour s'intéresser encore au Calendrier des Postes. A moins que ce soit à autre chose que l'on s'intéresse... quelque chose comme le prix de l'absence... (Régine Paquet)
Ces deux-là s'entendent comme larrons en foire ou plutôt comme mafieux que tient l'omerta. Insoupçonnables, convient le commandant de gendarmerie. (Michel Lalet)
On lui donnerait le bon Dieu sans confession, elle qui en est la bête dédiée. On aurait bien tort... (Paul Ferraris)
Un chat noir sur le pont de Beaugency... La légende a la vie dure. Méfiance ! (Hervé Gouzerh)
Quant à la ribambelle de noms que les souvenirs alignent, ils font une sacrée révision de nos lointains apprentissages scolaires. (Françoise Danel)
David Bogosse peine à déchiffrer le hameau où grandit un petit garçon qui devait être lui. Sans doute...

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Juillet 2022
LE CALEPIN BLEU n°54
CETTE ANNÉE-LA...
Le temps des cerises - pour Pierre Rosset, mais sans la nostalgie de J.B.Clément : plutôt les éclats de rire tapageurs de la jeunesse.
Eté 2003 - L'été de son retour. Elle l'attendait depuis toujours. (Régine Paquet)
Devoirs de vacances - Yadosh a pourtant tout bien fait. Pourquoi le jury fait-il la moue devant ce monde cosmique qu'il a bricolé ? (Michel Lalet)
L'été 1992 : Voyage en Turquie - On part les yeux emplis d'aventures mais l'inconnu, soudain, vous panique. (Jacqueline Paut)
Ma joyeuse - Une peau de bébé, la bave, les beubeubeu... Un bonheur qui ne se dément pas. (Yssé Cotine)
Decrescendo - Au loin, au bout du sable, deux silhouettes s'évanouissent dans le déchant des écumes. (Hervé Gouzerh)
Orphelins - D'un 11 septembre à l'autre, du Chili aux Etats-Unis, de 1973 à 2001. (Roger Wallet)

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Juin 2022
LE CALEPIN BLEU n°53
"Au menu..."
Si vous voulez suivre les pas de Margritte et vous régaler d'un menu picard, lisez Pierre Rosset.
Si vous voulez vous récréer d'un menu littéraire monomaniaque, toquez chez Jacqueline Paut.
Si vous débutez dans le commerce amoureux, lisez attentivement les conseils de Rémi Lehallier.
S'il vous faut de l'inédit, du plus corsé, du plus goûteux, le Bzz 96 de Michel Lalet a une table pour vous.
Si vous préférez la délicatesse d'un menu amoureux classique, poussez la porte de Léo Demozay.
S'il vous faut sentir le souffle d'un vent de folie, asseyez-vous à la table de Sécotine.
Si vous savez déjà que le plus intense du bonheur est dans l'attente, montez dans la voiture de Roger Wallet.
Si vous souhaitez goûter pour une fois le menu servi à une grande table, laissez-vous guider par Hervé Gouzerh.
Si vous préférez les saveurs inédites et proprement exotiques, asseyez-vous à la table de Françoise Danel.
Si la table quotidienne est la seule que vous connaissez, celle de Régine Paquet - hélas ! - ne déparera pas.
Bon appétit !

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Mai 2022
LE CALEPIN BLEU n°52 - "Cette chanson là . . . "
"Cette chanson-là..."
Impossible de résumer ce qu'est LA chanson. Elle est aussi diverse que la littérature. Douze auteurs, ici réunis, vous en apportent la démonstration.
Vous y trouverez la chanson sentimentale, la chanson de charme, la chanson d'émotion, la chanson contestataire, la chanson satirique... et même ce qui pourrait être un hommage à Boby Lapointe dont la ville de Pézenas fête ces jours-ci les cent ans de la naissance.
Lancez-vous, laissez-vous porter par les musiques... Et pourquoi ne pas fredonner cette chanson que vous n'avez jamais osé écrire ?...

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Avril 2022
LE CALEPIN BLEU n°51 - "Catastrophe" et "Monsieur le Président"
- Deux thèmes pour une fois, que certains mauvais esprits se sont empressés de fondre en un seul, n'est-ce pas, Françoise Danel (8) ?
- Michel Lalet (s'attache à jouer les Alain Rey en nous édifiant sur le mot "Catastrophe" et ses avatars linguistiques.
- Dans toutes les langues, "Au feu !" se comprend à l'intonation comme le grand frisson - Philippe Blondeau (16)
- David Bowgosse, lui (3), se noie dans les affres égoïstes de ceux qui ont du bien.
- Domi Langlet (15) nous ramène soixante ans en arrière, à l'époque où les grands Résistants qui nous dirigeaient démontraient, avec la guerre d'Algérie qui - Poutine a pris de Gaulle en exemple - n'avouait pas son nom, qu'ils n'avaient décidément rien compris ni à l'Histoire ni au prix inestimable de la vie d'un homme. Comment une telle incompétence peut-elle encore faire rêver ?
- Voici qui nous ramène à la fonction présidentielle. Pierre Rosset (12) et Jacqueline Paut (7) espéraient-ils une réponse à leur courrier aussi terre-à-terre, à ras de préoccupations ? Les élections vont leur répondre.
- Le plus sage ne serait-il pas Michel Lalet, cet homme de bien qui se dévoue corps et âme à la vie associative de son petit trou du Loir-et-Cher ? Il mérite bien sa statue sur la place du village.
- Mais qu'est-ce que Régine Paquet allait faire en haut de son phare, sinon à se griffer durablement le cœur ?
- Raphaël Cabale, lui, se mortifie de bal en bal, mais pourquoi toujours ces danses sud-américaines où s'invite le cœur ?
- Hervé Gouzerh joue avec la nostalgie ; pour s'épargner, il se met dans sa peau, à elle, mais le lecteur est-il vraiment dupe ?
- A mon avis, il ne l'est pas plus que Paul Ferraris qui se noue le cœur à regarder une vieille photographie noir et blanc où un jeune garçon lui ressemble tellement.
- Un grand rire pour clore : celui du Gars Poildecuteur qui en a plein le dos des poissons d'avril.

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Mars 2022
LE CALEPIN BLEU 50 - "Les tribulations d'un Chinois en Chine".
Tribulations.
Le mot n'est pas du registre courant.
Et peu courantes sont les aventures racontées par plusieurs des auteurs de cet opuscule.
Notamment Françoise Danel et son poulet fermier, ou Philippe Blondeau et son Abdul Noé.
On se reconnaîtra dans les déboires ferroviaires de Pierre Rosset et les improvisations campeuses de Jacqueline Paut.
Comme dans la déambulation nostalgique de Paul Ferraris le long de la vie, et la lancination d'Hervé Gouzerh à ses souvenirs grecs.
Tout ceci, Sylvie Van Praët le trouve chaque matin à deux pas de chez elle, dans son jardin.
Régine Paquet, elle, traverse l'Atlantique avec des peintures de Hopper pour se retrouver dans un combat féminin qui est, hélas, de tout pays.
Quant au voyage de Pierre Moreau, il a beau dater de 1348, il est de bien de nos rêves, 674 ans plus tard...

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Février 2022
LE CALEPIN BLEU 49 - Ephémère(s).
L'événement est rare : quatre nouvelles signatures !
Un Isarien de la ville-préfecture, Paul Ferraris, qui donna surtout dans la musique mais se ravisa, flûte alors !, pour jouer aussi de la plume ;
deux Axonais dont l'un, Philippe Crognier, publia aussi romans et nouvelles avant de se consacrer à des ouvrages plus sérieux de pédagogie et de management ;
son complice, Roni Grec, semble partager son humour mais, visiblement, de manière un peu plus crue.
Quant à Jeff, il s'agit d'un groupe musical des années 70 qui promena en Picardie sa poésie et ses musiques tout à fait Rive Gauche…
"Ephémères" donc.
Hormis la tentation oulipienne du lettrisme sonore dont je n'ai nulle part trouvé la scientifique dénomination (un Félix en effet assez agité), c'est aux fugitifs lépidoptères que se sont intéressées deux autrices : Françoise Danel (11-12) s'inquiète de leur invraisemblable cycle génétique ; Sylvie Van Praët contemple, défaite, ce qu'il en reste sur son sentier des bords du Cher.
Une seule collaboratrice a joué de l'effet mer : Jacqueline Paut (18).
Et puis l'éphémère simplement et son étymologie grecque ; hémère, jour, et épi, pendant : qui ne dure qu'un jour (nycthéméral pour un jour et une nuit). L'éphémère de la vie (Raphaël Cabale).
L'éphémère des sensations dans ces pays où jour et nuit se tirent l bourre (Domi L.).
L'éphémère de la guerre, hélas pour le vieux général (Octavie).
L'éphémère même du "génie" humain (Hervé Gouzerh).
Même l'éphémère nous laisse tomber en route (Régine Paquet) : profitons-en pour croire à l'éternel…

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Janvier 2022
LE CALEPIN BLEU 48 - "AUTOPORTRAIT"
"Analphabète, binoclarde, caustique, désordonnée, érotique, féline, gloutonne..." Pas de doute, c'est bien elle : Régine Paquet.
"A cette époque, souvent je marchais seul." Ce jour-là, Philippe Blondeau reconnaît immédiatement l'homme qui marche devant lui...
Un selfie, est-ce un autoportrait ? Qu'en penserait Rembrandt ? Et un selfie avec un masque FFP2, est-ce le portrait d'une époque ? (David Bowgosse)
Olga a cru bien faire en rejoignant ce groupe de parole, elle pensait que parler de son TOC l'aiderait. Raté ! (Jacqueline Paut)
La promenade dominicale : de la mère et du fils, qui soutient l'autre ? (Yssé Cotine)
Soixante ans qu'elle est sur cet autoportrait. Alors, forcément, la toile confine à un miracle de vérité. (Régine Paquet)
15 mots, 3 phrases, tout est dit. (Rémi Lehallier)
Un biographème comme dans les Lagarde-et-Michard de ses années-lycée. (Roger Wallet)
Trois autobiographies pour faire parler la vie autour de soi. (Françoise Danel)
Jamais la vitre ne renvoie la même image de celle qui s'y regarde. Quelle est la bonne ? (Sylvie Van Praët)
Verlaine l'a écrit merveilleusement, dans Mon rêve familier, et depuis 155 ans tout écrivain bute sur ce grand défi romanesque de n'être "ni tout à fait le même ni tout à fait un autre"... (Hervé Gouzerh)

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